Retro ... bouzouk

La contrée imaginaire - Acrylique



             
             Hier, sereine, je vous faisais part de mes réflexions positives pour savourer le quotidien mais, aujourd’hui l’envie de travailler me titillant, je pioche, au hasard, le mot farfelu de  « bachi-bouzouk » ! Eh bien, je dois dire que cette expression me laisse un peu … interdite !


              J’aurais préféré vous chanter les dernières lavandes, le jour qui raccourcit ou encore les matins frais si délicieux préparant l’arrivée éclatante du soleil ! … Mais non, le sujet est bel et bien le « bachi-bouzouk » !


La contrée imaginaire - détail -

            Entre parenthèses, avez-vous entendu parler du concert donné la semaine dernière dans les locaux du théâtre ? Ce fût un moment magique, un moment divin grâce aux superbes voix... mais je m’égare … revenons au « bachi-bouzouk » !



              Tout d’abord, ce double mot ne me dit rien qui vaille ! Vous vous en doutiez un peu, non ? Mon imagination est beaucoup plus fertile lorsque le sujet est plus … commun, plus léger, plus tendre, plus profond … plus près de moi tout simplement, comme le sont, par exemple, mes petits-enfants ! … Alors là, j’aurais beaucoup à vous raconter : l’aînée vient d’avoir 26 ans, le dernier 9, vous voyez qu’il y a de la marge pour vous présenter chacun d’entre eux ! … Mais bon, je ne m’étends pas plus, puisque ma contrainte du jour c’est toujours le « bachi-bouzouk » !



                C’est quand même une drôle d’idée de tomber sur ce terme étrange alors que la langue française comporte tant d’autres possibilités évocatrices, à la seconde même, de situations, de sentiments, de paysages, de faune, de flore … Vous voulez des exemples ? … Vos sourcils se froncent, votre regard noircit, votre impatience devient palpable … D’accord, ce n’est pas le moment ! Découvrons donc le « bachi-bouzouk » !



                    Alors voilà … réflexion faite, le « bachi-bouzouk » 

je vais le contourner,

La contrée imaginaire - détail
 

je vais l’éluder,

je vais le laisser à vos plumes inspirées,

je vais le remettre dans son élément … ottoman

dont il n’aurait jamais dû sortir ! …

Sans le moindre regret, je vais tourner la page …

Que voulez-vous, je n’ai vraiment rien à dire

sur le « bachi-bouzouk » ! …


                   

                                                                                                          

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